Jean Glandier (1880-1918)
| Jean Glandier | |
|---|---|
| Naissance | 1880 à Marcenat (Cantal) |
| Décès | 1918 à Côte 82 à Grugies (Aisne), à l'âge de 38 ans |
| Régiment | 339ème régiment d'infanterie |
| Classe | 1900 |
| Bureau de recrutement | Aurillac |
Jean Glandier, né le 17 février 1880 à Marcenat (Cantal), est le fils de Pierre Glandier et de Marie Andrieu. Ses parents sont domiciliés : (non renseigné).
Marié à Marie Rondot, il réside : 27, rue Michelet à Billancourt.
Il exerce la profession de (à renseigner).
D'après le recensement militaire, il répond à la description physique suivante :
| cheveux : | yeux : |
| front : | nez : |
| visage : | teint : |
| lèvres : | bouche : |
| menton : | lobe de l'oreille : |
| oreilles : | sourcils : |
| taille : | marques particulières : |
Il sait également :
- (à préciser)
Parcours militaire
Il est recruté sous le matricule 720 au bureau de recrutement : Aurillac. Soldat du 339ème régiment d'infanterie, il meurt le 7 octobre 1918 à Côte 82 à Grugies (Aisne), à l'âge de 38 ans.
Mention : "Tué à l'ennemi"
Il a reçu une ou plusieurs distinctions :
- croix de guerre
- (à préciser)
- (à préciser)
Le corps est inhumé dans un trou d'obus à 50 m à gauche d'un chemin d'exploitation partant du carrefour de la côte 82 allant dans la direction de la route nationale n°44 . Il est inhumé ensuite dans une tombe individuelle de la nécropole nationale situé à Saint-quentin (Aisne) (tombe n°120).
Son nom figure sur un ou plusieurs monuments commémoratifs : (à préciser)
Documents
- Glandier jean 2.jpg
- Glandier jean 3.jpg
Sources et liens
- Archives municipales de Boulogne-Billancourt, registres d'état civil, série E
- Archives municipales de Boulogne-Billancourt, recensement militaire, série H
- Archives départementales du Cantal, recensement militaire, série R
- Fichier des morts pour la France, Mémoire des Hommes
